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Saint-Joseph est le saint patron du Canada
"Patron de l'Eglise Universelle et des charpentiers"
Sa vie :
Charpentier à Nazareth, il fut le père nourricier du Christ, sachant parfaitement qui il était lorsqu'il épousa Marie.
C'est lui qui présenta Jésus au temple et qui l'emmena avec sa femme en Egypte pour fuir le massacre des nouveaux-nés qu'avait organisé Hérode.
Lorsque ce dernier fut mort, ils revinrent à Nazareth où Joseph appris à Jésus le métier "de charpentier" qu'il connaissait.
On sait qu'il est mort avant la Passion du Christ.
Il est le Patron de l'Eglise Universelle et des travailleurs.
Les évangélistes ne nous ont conservé aucune parole de ce" juste", le charpentier de Nazareth en Galilée, fiancé Marie, la Mère de Dieu, époux aussi discret que fidèle et chaste.
Père nourricier et éducateur de Dieu le Fils, devenu homme parmi les hommes de ce village, il le fait tout simplement.
L'ange lui avait dit :" Ne crains pas de prendre chez toi, Marie, ton épouse." et Joseph prit chez lui Marie son épouse. -
"L'ange lui avait dit :" Lève-toi, prends l'enfant et sa mère." et Joseph se leva, prit l'enfant et sa mère et s'enfuit en Egypte.
Il est un vrai fils d'Abraham : il croit et fait ce que Dieu lui dit.
Lorsque Jésus disparaît pendant trois jours lors du pèlerinage à Jérusalem, Joseph accompagne la quête de Marie :" Ton père et moi nous te cherchions." Et Jésus, même s'il se consacre désormais "aux affaires de son Père" n'en est pas moins soumis à celui qui, sur terre, a autorité paternelle sur lui.
Le Père savait à qui il confiait son Fils unique et sa Mère.
Les Orientaux honorent saint Joseph depuis toujours.
Les Latins l'ont méconnu longtemps.
Souvent représenté avec un bâton fleuri. Pie IX le déclara patron de l'Eglise universelle en 1870. Patron des charpentiers, des menuisiers, des mourants, des ouvriers. Patron de la Belgique, du Canada, du Pérou, du Vietnam. Nom issu de l'hébreu "Yosephyah" (que Dieu ajoute).
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Cet office est composé du chant des Lamentations du prophète Jérémie, de psaumes, de lectures. En filigrane, c'est la figure du Christ qui est évoquée. Mais c'est aussi le cri des souffrants d'hier et d'aujourd'hui, et ils sont nombreux. Assuré dans la foi en la résurrection du Christ, le priant se laisse envahir par la plainte de l'innocent condamné à mort.
Dans la foi, il garde les yeux fixés sur le Christ, chemin, vérité, vie. Des monastères comme Solesmes chantent ces pièces grégoriennes dépouillées au moment des offices de la semaine sainte. Avant et après la Renaissance, les artistes ont été nombreux à composer des oeuvres grégoriennes comme Marc-Antoine Charpentier (1670-1693, Paris).
2 commentaires -
https://www.ceremoniaire.net/guide/rameaux/
Ce jour, l’Église entre dans le mystère de son Seigneur crucifié, mis au tombeau et ressuscité, qui par son entrée à Jérusalem a donné une préfiguration de sa gloire. [38] Les cérémonies comportent deux particularités : la bénédiction des rameaux avec la procession ou l’entrée solennelle, qui précèdent la Messe, puis la proclamation de la Passion au cours de la Messe.
L’allégresse des cérémonies des Rameaux ne se reflète ni dans la Messe qu’elles précèdent ni dans l’Office divin de ce jour, qui fixent déjà la Passion et la Croix. L’oraison, qui sert et à l’Office et à la Messe, demande que Dieu nous accorde de suivre les leçons de la Passion de notre Sauveur pour avoir part à sa Résurrection. La Messe de ce jour ne fait pas exception à la règle selon laquelle les fleurs et les instruments de musique sont proscrits pendant le Carême, sauf pour les solennités et les fêtes, [39] mais l’usage assimile la procession aux fêtes. (...)
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