• En période de vacances, pendant les longs weekends il arrive fréquemment que l'on rencontre sur les parvis des personnages vêtus d'un polo bleu...

    ce ne sont pas des schtrumpfs...

    C'est le peuple des bénévoles du sanctuaire...

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

    Ils accomplissent de taches multiples et sans eux le sanctuaire ne serait pas aptes à accueillir tant de monde 

    Non ce n'est pas des stroumphs...

    Ils ne plaignent pas leur peine 

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce ne sont  pas des strumpfs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce ne sont  pas des stroumphs...

     

    Non ce ne sont  pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce ne sont  pas des stroumphs...

     

    Non ce ne sont  pas des stroumphs...

    Ils apportent un air de jeunesse aux vieilles pierres

    Non ce ne sont  pas des strumpfs...

      

    Non ce n'est pas des stroumphs...

    Il fut une époque ou ils étaient revêtus de rouge

    Non ce ne sont  pas des strumpfs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs...

     

    Non ce n'est pas des stroumphs... 


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  • Rappel historique : le Mois de Marie

     

     

    Bientôt le mois de mai, le mois de Marie. Rappelons nous l'histoire de cette dévotion . Le « mois de Marie » qui est le plus ancien de ces mois consacrés, vit le jour à Rome, peut-être autour du collège romain des Jésuites, d'où il se diffusa dans les Etats Pontificaux, puis dans le reste de l'Italie et enfin dans toute la catholicité. La promotion du « mois de Marie » doit beaucoup aux Jésuites, singulièrement au P. Jacolet qui publia le « Mensis Marianus » à Dillingen en 1724, au P. Dionisi qui publia le « mese di Maria », à Rome en 1725, et au P. Lalomia qui publia le « mese di Maria assia il mese di maggio » à Palerme en 1758. Après eux, vint le « mese di Maria » que publia le P. Alphonse Muzzarelli à Ferrare en 1785, qui connut plus de cent cinquante éditions en un siècle, et qui fut traduit en français, en espagnol, en portugais, en anglais et en arabe. Avec le P. Muzzarelli, il ne s'agit plus de méditer seulement la vie, les vertus et les privilèges de la Sainte Vierge, mais, de s’en inspirer pour sanctifier la vie quotidienne en pratiquant chaque jour une vertu. Ainsi, chaque jour du mois du mai, les fidèles méditent une vérité de la vie chrétienne en fonction de laquelle ils s’imposent une pratique particulière, puis font une invocation et chantent un cantique à Marie.

    Grâce aux ouvrages des P.P. Lalomia etMuzzarelli, le « Mois de Marie » atteint la France à la veille de la Révolution. La vénérable Louise de France, fille de Louis XV et prieure du carmel de Saint-Denis, fit traduire le livre du P. Lalomia dont elle fut une zélée propagatrice. Cet usage n'eut un caractère général qu'avec les missions populaires de la Restauration, après qu'il fut officiellement approuvé et enrichi d'indulgences par le Saint-Siège (21 novembre 1815). Après les jansénistes, le clergé constitutionnel était farouchement opposé à cette dévotion et l'on sait que Mgr Belmas, évêque concordataire de Cambrai, jadis évêque constitutionnel de l’Aude, en fut un adversaire résolu : après l'approbation de Pie VII, « on tenta de l'introduire au Grand Séminaire, sans son autorisation. Le mois devait s'ouvrir par un salut très solennel. Déjà les cierges étaient allumés à profusion sur l'autel. Prévenu, il les fit éteindre et contremanda la cérémonie. »

     

    Si les Jésuites semblent bien avoir été les initiateurs du « Mois de Marie », les Camilliens revendiquent l'honneur de l'avoir inauguré dans sa forme actuelle, en 1784, dans l'église de la Visitation de Ferrare. Selon beaucoup, les Jésuites n’auraient fait que codifier des pratiques antérieures et, surtout, en souligner l'élaboration familiale. Ils recommandaient que, la veille du premier mai, dans chaque appartement, on dressât un autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, devant quoi, chaque jour du mois, la famille se réunirait pour réciter quelques prières en l'honneur de la Sainte-Vierge avant de tirer au sort un billet qui indiquerait la vertu à pratiquer le lendemain.

     

    Au XIII° siècle, le roi de Castille, Alphonse X le Sage (1239-1284), avait déjà associé dans un de ses chants la beauté de Marie et le mois de mai ; au siècle suivant, le bienheureux dominicain Henri Suso avait, durant l'époque des fleurs, l'habitude de tresser des couronnes pour les offrir, au premier jour de mai, à la Vierge. En 1549, un bénédictin, V. Seidl, avait publié un livre intitulé « Le mois de mai spirituel », alors que saint Philippe Néri exhortait déjà les jeunes gens à manifester un culte particulier à Marie pendant le moi de mai où il réunissait les enfants autour de l'autel de la Sainte Vierge pour lui offrir, avec les fleurs du printemps, les vertus qu'il avait fait éclore dans leurs jeunes âmes. A Cologne, en 1664, les élèves des Jésuites pratiquaient déjà, au mois de mai, des exercices de piété en l'honneur de Marie, tandis qu'en Alsace, des jeunes filles, appelées Trimazettes, quêtaient de porte en porte pour orner de fleurs l'autel de la Sainte Vierge. Le jésuite Nadisi ne rapproche le culte marial du mois de mai qu'en citant épisodiquement Henri Suso dans son « Mensis Marialis » (1654) ; un « Mois de Marie », paru à Molsheim en 1699, probablement sous la plume du jésuite Vincke ne faisait aucune mention de mai. Le capucin Laurent de Schniffis consacrait le mois de mai à Marie dans un recueil de trente poésies, « Moyen-Pjeiff », publié en 1692. Outre qu'au début du XVIII° siècle, l'église franciscaine et royale Sainte-Claire de Naples connaissait au mois de mai un office populaire marial quotidien suivi d'un salut du Saint-Sacrement, les dominicains de Fiesole, en 1701, décidaient d'honorer la Vierge tous les jours du mois de mai, ce qui se faisait aussi, près de Vérone, dans la paroisse de Grezzana (1734), et, un peu plus tard à Gênes (1747) et à Vérone (1774).

     

    Il y a d'autres mois consacrés à des dévotion particulières : le mois de saint Joseph, mars, né à Viterbe, fut approuvé par Pie IX (12 juin 1855) ; le mois du Rosaire, octobre, né en Espagne, fut approuvé par Pie IX (28 juillet 1868) et demandé par Léon XIII (1883) ; le mois du Sacré-Cœur, juin, né au couvent des Oiseaux de Paris en 1833 et encouragé par Mgr. de Quelen, fut approuvé par Pie IX (8 mai 1873) ; on connaît encore le mois du saint Nom de Jésus approuvé par Léon XIII en 1902 (janvier), le mois du Précieux Sang approuvé par Pie IX en 1850 (juillet), le mois du Cœur Immaculé de Marie (août), le mois de Notre-Dame des Douleurs approuvé par Pie IX en 1857 (septembre), le mois des âmes du Purgatoire approuvé par Léon XIII en 1888 (novembre), le mois de l'Immaculée Conception (décembre)…

     

     

     


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  • Le Père Alexandre BULEA ( lazariste) notre voisin, le curé de Gramat, vient parfois en renfort au sanctuaire

    Le voici dans la crypte à la fin de la messe bénissant des pèlerins et distribuant des sportelles


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    Nous avons lancé les inscriptions pour le pèlerinage des pères de famille. La nouveauté de cette année : le site internet consacré au pélé mêlant témoignages, infos pratiques et méditation sur la vocation de père de famille (www.ppdfr.fr ou www.pelerinage-peresdefamille-rocamadour.fr). Nous devrions être aussi nombreux que l’année dernière (230 pères), sinon un peu plus, avec sans doute plus de diversité géographique ; un groupe de pères vient de Camaret sur Mer accompagné d’un prêtre!

     

     

     

    Oui, j'ai de la valeur aux yeux du Seigneur,
    c'est mon Dieu qui est ma force.

    Isaïe 49,5 

     

     

    ["Lechesnaypèresdefamille"]

     

     

    Chers amis pèlerins,

    La date du pèlerinage approche (du jeudi 29 juin au soir jusqu'au dimanche 2 juillet, avec un retour dans nos familles vers 20h).

    Nous accueillons cette année des pères de famille venus des quatre coins de la France : Avignon, Bordeaux, Camaret sur mer, Genève, les Mureaux, le Chesnay, Paris, Lot, Toulouse, Versailles,…

     

    Pour faciliter votre inscription et le recrutement de vos amis, nous lançons un site internet :

    www.ppdfr.fr ou www.pelerinage-peresdefamille-rocamadour.fr

    Vous y trouverez des témoignages, une méditation sur la vocation de père de famille, et des infos pratiques.

    En outre, pour les pèlerins de la région parisienne, retenez la date du Dimanche 14 mai à partir de 19h30 pour la soirée de lancement du pélé (vins et fromages) à la salle Notre Dame de Fatima, 2 rue Julien Poupinet 78150 Le Chesnay, avec un témoignage de Rodrigue Tandu sur son engagement dans l'association Le Rocher - Oasis des Cités. 

     

    N'hésitez pas à inviter des pères de famille proches ou moins proches de l'Eglise. Ce sera une joie de les accueillir pour ce moment exceptionnel.


    Fraternellement,

    L'équipe d'organisation

     

     


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