• Enregistrement en 360 degrés en réalité virtuelle dans le lieu de son inspiration le 22 août 1936 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=oJVHm0Xw_rU  


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  • À Ploërmel, le retrait de la croix qui surplombe la statue du pape Jean Paul II érigée sur une place publique relance le débat sur la laïcité et interroge sur sa définition.

    Le 25 octobre 2017, le Conseil d’État, la plus haute juridiction de l’ordre administratif, a fait injonction à la commune de Ploërmel de procéder au retrait de la croix surplombant une statue du pape Jean Paul II, au nom de la neutralité des personnes publiques à l’égard des cultes. Une décision qui illustre le refus de toute présence du religieux dans l’espace public. (...)

     

    https://fr.aleteia.org/2017/10/30/signes-religieux-le-paradoxe-de-la-laicite/?utm_campaign=NL_fr&utm_source=daily_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr


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    L'histoire se déroule à Ploërmel en Bretagne. En 2006, la municipalité décida d'installer dans la ville une statue de Jean-Paul II avec une arche et une croix. La Fédération de La Libre Pensée, combattante infatigable de la lutte contre les signes chrétiens défigurant notre beau pays entama une bataille juridique pour faire disparaître cette horreur.

    De tribunaux en tribunaux, d'appel en appel, d'enc… de mouches en enc… de mouches, l'affaire traîna. Finalement, et en dernier ressort, le Conseil d'État trancha. La croix doit être enlevée dans un délai de 6 mois. 

    Mais la statue pourra rester. Ainsi que l'arche. Sur que les juifs de Ploërmel vont être contents…

     

    http://www.atlantico.fr/decryptage/avez-six-mois-pour-enlever-cette-croix-ainsi-parla-conseil-etat-benoit-rayski-3206402.html?utm_term=Autofeed&utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1509086584


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    Chaque année, le 31 octobre, c’est Halloween, une fête d’origine celte. N’est-ce pas, pour les catholiques, une occasion à saisir pour redécouvrir la Toussaint ?

    Il y a plus de 2500 ans, les Celtes célébraient, le 31 octobre, leur Nouvel an, la fin des récoltes, le changement de saison et l’arrivée de l’hiver.
    Cette cérémonie festive, en l’honneur de la divinité Samain (dieu de la mort), permettait de communiquer avec l’esprit des morts. Ce jour-là, les portes entre le monde des vivants et celui des morts s’ouvraient : selon la légende, cette nuit-là, les fantômes des morts rendaient visite aux vivants. Pour apaiser les esprits, les villageois déposaient des offrandes devant leurs portes.
    Cette fête est conservée dans le calendrier irlandais après la christianisation du pays, comme un élément de folklore, de carnaval. Elle s’implante ensuite aux Etats-Unis avec les émigrés irlandais de la fin du XIXème siècle où elle connaît, aujourd’hui encore, un immense succès. Halloween traversera ensuite l’Atlantique et arrivera en France essentiellement pour des raisons commerciales.
    « All Hallows Eve » ?
    Etymologiquement, « Halloween » vient de l’expression anglaise « All Hallows Eve »?, qui signifie « veille de la Toussaint ». N’y a-t-il donc pas là, pour les catholiques, une occasion de redécouvrir la Toussaint ?
    Il est, bien entendu, difficile de comparer Halloween à la Toussaint. Ces deux fêtes sont en effet, si l’on y réfléchit, totalement contradictoires.
    La « vraie lumière »
    Halloween est avant tout un prétexte pour « faire la fête » et oublier les longues soirées automnales, souvent pluvieuses et tristes. La Toussaint, elle, est une fête beaucoup plus recueillie, « intérieure ». L’Eglise nous libère de cette peur de la mort en insistant, au jour de la Toussaint, sur l’espérance de la Résurrection et sur la joie de ceux qui ont mis les Béatitudes au centre de leur vie. Elle recentre sur le Christ, vainqueur de la mort.
    Quelques passages d’ Évangile peuvent d’ailleurs éclairer ce débat (Jn 1, 9 ; Mt 5, 14 ; Ps 139, verset 12).
    Fête de la peur et communion
    Halloween est une fête de la peur. Les enfants « s’amusent » à se faire peur (aux autres et à eux-mêmes). La Toussaint, au contraire, est une fête de la communion, communion avec les saints, le 1er novembre, et avec les morts, le 2 novembre. Communion de tous par et avec un Dieu d’Amour. Être en communion de pensée, par la prière, c’est être en lien, en
    relation, en sympathie avec les autres. A contrario, cultiver la peur, c’est s’éloigner des autres, s’isoler d’eux, se replier sur ses peurs.
    « Négatif » et « positif »
    Halloween est une fête du négatif : la peur, la frayeur, la mort anonyme, l’angoisse.
    La Toussaint, elle, est une fête du positif : les saints, la proximité avec les morts de sa famille, la mémoire des autres. Les saints ont des individus qui, soucieux de suivre l’Evangile, ont aimé les autres, se sont dévoués corps et
    âme pour l’humanité souffrante. Ils sont des modèles de vie.
    Alors que faire ? Sans doute redonner éclat à la Toussaint, fêter avec plus de joie et de dignité ce grand jour. Et expliquer à nos enfants qu’Halloween, c’est juste pour s’amuser !

    Trick or treat
    Les enfants ont l’habitude, la nuit d’Halloween, de passer de maison en maison et de demander des bonbons en disant “trick or treat » ? : ils échangent une protection contre un “mauvais sort » ?
    contre un bonbon.
    L’expression anglaise Trick or Treat (Courir l’Halloween en français) provient d’une vieille coutume européenne qu’on appelait souling. Des mendiants allaient de village en village en demandant des soul cakes (gâteaux de l’âme) qui étaient faits de morceaux de pain carrés avec des raisins secs. S’ils recevaient beaucoup de gâteaux, ils promettaient beaucoup de prières pour les âmes des parents défunts du donneur.
    On croyait que les âmes des défunts restaient encore un moment dans leur corps et que des prières, même par des étrangers, pourraient garantir le passage de l’âme vers le Ciel.

    Source : Gratiane DORLANNE, diocèse de Valence


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  •  https://fr.aleteia.org/2017/10/23/y-a-t-il-plus-de-catholiques-dans-le-monde-que-lan-dernier/

     

    L'agence Fides a publié ce 20 octobre 2017 son état statistique de l’Église dans le monde pour l'année écoulée, à l'occasion de la Journée missionnaire mondiale qui a eu lieu ce 22 octobre.

    Selon l’agence Fides, le nombre de catholiques dans le monde s’élevait au 31 décembre 2015 à 1,3 milliard de personnes, soit 17,7% de la population mondiale (7,2 milliards d’individus). Si ce pourcentage est légèrement en baisse, de 0,05 point par rapport à l’année précédente, le nombre de catholiques a progressé de 12,5 millions sur un an. Dans le détail, cette hausse est avant tout tirée par l’Afrique (+7,4 millions de catholiques) et l’Amérique (+4,8 millions). Le nombre de fidèles connaît également une augmentation en Asie et en Océanie, mais moindre. Ces deux continents comptent respectivement 1,5 million et 123 000 catholiques supplémentaires. À l’inverse, l’Europe est le seul continent qui enregistre une baisse du nombre de catholiques (-1,3 million).

    Ces chiffres s’inscrivent dans un contexte de croissance de la population mondiale (+ 88 millions). Tout les continents, y compris l’Europe, dont le nombre d’habitants était en recul l’année précédente, connaissent une progression. Si bien que la proportion de catholiques est en hausse dans deux zones géographiques, en Afrique (+0,12%) et en Océanie (+0,24%). En revanche, elle diminue en Amérique (-0,08%), où l’augmentation des fidèles est inférieure à la croissance de la population, et en Europe (-0,21%). Elle demeure stable en Asie, continent où la hausse démographique est la plus forte (+47,7 millions).

    Moins de prêtres par habitant

    Le nombre de prêtres lui reste à peu près stable, aux alentours de 415 000 (-136). Dans le détail, l’Europe perd 2 500 prêtres par an, quand l’Afrique et l’Asie en gagnent. Il s’agit surtout d’une croissance de prêtres diocésains plus que de religieux : une tendance qui se confirme d’année en année. Le Vieux Continent reste cependant la zone qui compte le plus de prêtres (170 000 environ). En termes de diocèses ou équivalents, l’Église a créé 3 006 circonscriptions ecclésiastiques nouvelles en 2015, un chiffre en augmentation sur presque tous les continents, sauf l’Océanie. Un autre chiffre intéressant, car il montre la dynamique missionnaire de l’Église : le nombre de missions, avec ou sans prêtre, est en augmentation (6 428 de plus), notamment en Afrique et aux Amériques.

    En raison de la progression démographique, le nombre d’habitants par prêtre est donc logiquement en hausse. Ce chiffre est maintenant de 3 091 (+31 unités). Des augmentations sont enregistrées en Afrique (+40), en Amérique (+37) et en Europe (+14). Dans ce dernier continent, le nombre de prêtres par habitant – 4 000 – reste ainsi largement plus favorable que pour les autres. À l’inverse une diminution est enregistrée en Asie (-13), comme l’an passée, à laquelle s’ajoute, cette année, un reflux en Océanie (-11).

    116 000 séminaristes dans le monde

    Concernant le clergé, le nombre d’évêques est en légère augmentation, là encore plus souvent issus du clergé diocésain que des rangs de communautés religieuses. Quant aux séminaristes, ils sont 116 000 environ dans le monde, avec un léger ralentissement. Diminution qui ne concerne ni l’Afrique ni l’Asie, mais plutôt les Amériques et l’Europe. À noter enfin que le nombre de « petits séminaristes » est en forte augmentation, sur tous les continents, avec 104 000 écoliers (+1 000) qui fréquentent des établissements leur permettant de s’interroger sérieusement sur la vocation sacerdotale.  


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