• Du latin octavus : « huitième ». Les grandes fêtes des Israélites étaient célébrées une semaine entière, et le jour octave clôturait solennellement les festivités. On lit, dans le Lévitique, les prescrip­tions suivantes : « Le quinzième jour du septième mois, il y aura pendant sept jours la fête des Tentes pour Yahvé. Le premier jour, jour de sainte assemblée, vous ne ferez aucune œuvre servile.

    Pendant sept jours, vous offrirez un mets à Yahvé. Le huitième jour, il y aura pour vous une sainte assemblée, vous offrirez un mets à Yahvé. C’est jour de réunion, vous ne ferez aucune œuvre servile » (23, 34-36 ; cf. 2 Ch 7, 9).

    Dans la liturgie de l’Église, le jour octave est aussi le « huitième jour » clôturant une Solennité, mais le mot « octave » désigne éga­lement toute la durée des huit jours de célébration. Seules, les Solennités de Noël et de Pâques ont actuellement une octave ; le jour octave de Noël est, le 1er janvier, Solennité de Marie, Mère de Dieu ; le jour octave de Pâques est le dimanche in albis (voir Aube), ou dimanche de Quasimodo, ou deuxième dimanche de Pâques.

    Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie © Editions CLD, tous droits réservés


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    Cette salle existe encore...mais elle a bien changé...

    Elle a perdu son décor à l'exception des poutres et de la cheminée.

    Les fenêtres romanes du côté droit ont cédé la place à une vitrine...et c'est devenu le magasin du sanctuaire...

     

    Photo ancienne

     

    Vue ancienne de la vallée


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  •  En Avignon, la maire socialiste Cécile Helle, a décidé non seulement de supprimer le marché de Noël mais de remplacer les personnages de la crèche dans le hall de l'Hôtel de Ville par…des girafes roses ! Christine Clerc dénonce cette vision punitive de la laïcité.

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/12/26/31003-20161226ARTFIG00118-noel-fete-de-la-girafe-rose.php


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    Étienne qui porte un nom grec (stephanos, le couronné) apparaît parmi les disciples des apôtres dans la première communauté chrétienne de Jérusalem. Quand des disputes (ce sont les premières mais, hélas pas les dernières dans l'histoire de l'Église) s'élèvent au sujet des veuves hellénistes et des veuves juives, on pense tout de suite à lui et il devient le premier des sept diacres chargés du service des tables. Il s'en acquitte à merveille sans pour autant se trouver exclu du service de la Parole. Ce n'est pas en effet pour son service de charité qu'il est arrêté mais bien pour avoir, devant des représentants de la "synagogue des Affranchis", proclamé avec sagesse l'Évangile de Jésus, le Christ. On le conduit devant le sanhédrin. Il parle. On l'écoute longuement sans l'interrompre. Toute la prédication des apôtres défile dans son discours qui se termine par une vision divine: "Je vois les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout à la droite de Dieu." C'en est trop. On se saisit de lui, on l'entraîne, on le lapide sous les yeux d'un certain Saul. Étienne meurt comme son Maître, pardonnant et s'abandonnant entre les mains du Père. Il est le premier martyr et, de ce grain tombé en terre, le premier fruit sera la conversion de Saul sur le chemin de Damas, pour qui le ciel s'est ouvert aussi. 
    Paul en fut aveuglé parce qu'il n'avait pas encore reçu la grâce du Baptême.


    Saint Etienne est le patron du diocèse de Cahors dont la cathédrale porte le nom


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